Israël doit relâcher les enfants palestiniens, affirment les Nations Unies

Des responsables des Nations Unies appellent Israël à relâcher immédiatement tous les enfants palestiniens.

Israël a mis en prison d’autres enfants palestiniens y compris pendant la pandémie de coronavirus.

Fin mars, 194 enfants palestiniens étaient emprisonnés dans les prisons israéliennes. Il y en a encore actuellement plus de 180.

« C’est plus élevé que le nombre mensuel moyen d’enfants détenus en 2019 », ont dit les responsables onusiens.

« De ce total, la grande majorité des enfants n’a pas été condamnée pour un délit quelconque, ils sont retenus en détention préventive ».

Lire la suite de cet article en date du 13 mai sur le site de l'Agence.

La normalisation avec Israël, une autre façon de piétiner les droits des Palestiniens

"Dans le rapport de force profondément déséquilibré du moment, la normalisation implique de piétiner les peuples et les conditions vitales pour eux-mêmes et pour une véritable paix entre eux : la justice, l’égalité, le respect de leurs droits. Mais de Sissi en Égypte à Bin Salman en Arabie Saoudite, alliés de la France qui leur livre des armes, seules les directions de ces dictatures semblent être des interlocuteurs valables. Les intellectuels arabes cités par la tribune sont des alliés de ces pouvoirs, quand ils n’en font pas partie.

Tout le monde veut la paix, c’est bien connu. Cette normalisation, que le texte veut identifier à la paix, n’a pourtant rien à voir avec elle. A cette normalisation les signataires de la tribune opposent un « virus de la haine, une culture de la haine », bien évidemment attribués aux peuples… arabes.  Le dialogue avant la paix – ou plus précisément à la place de la paix – est une stratégie bien connue."

Lire cette réponse publiée sur Contretemps.eu et relayée sur le blog Médiapart de l'Agence Média Palestine de Michèle Sibony et Maxime Benatouil, membres de la Coordination nationale de l’UJFP à la tribune anti-palestinienne publiée dans le Point appelant à soutenir les entrepreneurs et intellectuels arabes qui œuvrent à la normalisation avec Israël.

Sur ce sujet également, le communiqué de l'UJFP.

A lire également sur le site de l'Agence, cet article en date du 12 mai dernier: 

La distanciation sociale n’est pas possible dans les camps de réfugiés de Gaza

Et ce billet du journaliste Ali Abunimah d'Electronic Intifada publié ce jour:

L’UE « loin » des sanctions contre Israël, selon le chef de la politique étrangère européenne

 

Levez le siège: Plus de 350 artistes appellent à mettre fin au siège de Gaza par Israël lors de la crise de coronavirus

Plus de 350 artistes de plusieurs pays ont signé cet appel pour demander la levée du blocus de Gaza.

Nous relayons ici leur puissante tribune:

Levez le siège: Plus de 350 artistes appellent à mettre fin au siège de Gaza par Israël lors de la crise de coronavirus

"Dans ces temps de crise internationale, nous devons défendre la justice, la paix, la liberté et des droits égaux pour tous, indépendamment des identités ou des croyances. Même si nous restons confiné-e-s à la maison, notre responsabilité éthique ne devrait pas l’être. »"

Voir aussi cette REVUE DE PRESSE suite à leur appel.

Se souvenir de la Nakba grâce à la littérature palestinienne

"Se rappeler la Nakba de 1948 est par conséquent un acte de protestation et de résistance. C’est affirmer que les Palestiniens ne permettront pas que leur histoire soit oubliée ou leurs souvenirs effacés. Pourtant, la mémoire doit être façonnée sous une forme que le public peut accueillir, et les récits de fiction littéraire et les récits vécus ont donné aux Palestiniens l’opportunité d’entrer dans la mémoire collective du monde. La leçon apprise de la littérature palestinienne à la période du coronavirus est encore plus essentielle : grâce aux activités d’écriture et de lecture, la littérature permet aux souvenirs d’être partagés, transmis et reçus. La littérature accroît l’action résistante du travail de la mémoire et crée un sensation de communauté grâce au récit des souvenirs."

Lire la suite de cet article sur le site de l'Agence.

A lire aussi sur le site de l'Agence, le film 3000 nuits que vous pouvez voir librement et sous-titré en français jusqu'à mercredi prochain:

Cinéma palestinien : « 3000 NUITS » de Mai MASRI proposé cette semaine par le Palestine Film Institute

A découvrir aussi sur le site de l'Agence,  ce beau clip produit pendant le confinement "Rêves et montagnes" de l’association Al Kamandjati.

Voir également cette recette par la cheffe palestinienne Nadia Tommalieh du dessert sucré Qatayef, traduite en français sur la page youtube de l'Agence.

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