Au cœur de ma start-up se trouve la "grande nouvelle" dont je vous ai parlé il y a 2 mois et demi, et dont je ne peux pas encore vous révéler la teneur, car elle est toujours en cours de négociations. Tout ce que je peux vous dire est qu'il s'agit d'un partenariat extraordinaire. 🤞🤞🤞
Mais ma start-up, petite ou grande, aura toujours un talon d'Achille :
Moi.
La création de nouvelles histoires est à la base de tout. Si la gestion de mon projet phagocyte mon temps de création, tout l'édifice risque de s'écrouler.
J'ai tenté l'année dernière d'employer du personnel pour pouvoir alléger ma charge de travail. Parce que je n'ai pas pris le temps nécessaire à la formation, parce que j'ai attendu qu'ils/elles règlent mes problèmes plutôt que de leur offrir des solutions à implémenter, chaque recrutement s'est soldé par un échec.
Ces derniers mois, la recherche d'un "autre moi" est devenue plus urgente que jamais.
Quel serait le descriptif de ce poste ? Je ne le connais pas moi-même.
Non seulement le job exige de l'innovation (à la frontière de la tech et de l'édition), mais il doit être constamment réinventé à mesure que le paysage de la "nouvelle" autoédition change — et il change à une vitesse fulgurante. Le-la candidat-e parfait-e doit aussi avoir une parfaite connaissance de l'anglais et de la culture anglo-saxonne, car, soyons honnêtes, nous suivons leur sillage.
(Sans parler de la capacité à me supporter, moi, mes mille idées à la seconde, ma tendance à changer d'avis comme de chaussettes et le joyeux chaos qui règne dans mon bureau.)
La crise du Covid a trouvé la solution à mon problème de recrutement.
Elle était sous mes yeux depuis 15 ans.
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