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Unsicherheit ist Gift, Wasser ist Leben

Liebe Leserin, lieber Leser

Unsicherheit ist Gift. Denn Unsicherheit befeuert die Angst. So ist es auch in der aktuellen Pandemie: Wir wollen Klarheit und möchten wissen, was «gesund oder krank» macht, welches Verhalten «richtig oder falsch ist. Die zentrale Rolle spielen hierbei die Behörden: Von ihnen erwartet die Öffentlichkeit sachliche und klare Informationen.

Wasser ist Leben. Die Öffentlichkeit reagiert daher verständlicherweise auch auf verunreinigtes Wasser sehr sensibel. Wer mit Meldungen zu grossflächigen Grenzwertüberschreitungen im Grundwasser aufwarten kann, löst heftige Reaktionen aus. So beispielsweise die neuste Mitteilung des Bundesamts für Umwelt. Dieses vermeldet, dass die Konzentrationen mehrerer Chlorothalonil-Metaboliten die Grenzwerte im Grundwasser grossflächig überschreiten würden. Warum das Bundesamt mit dieser Mitteilung den sachlichen Informationspfad verlässt und fahrlässig Ängste schürt, bleibt sein Geheimnis. Wie die Behörden ein Grenzwert-Chaos verursacht haben und warum ihre Daten eben keine Grenzwertüberschreitungen im Grundwasser zeigen, erfahren Sie hier.

Wissenschaft bietet Information. Die Corona-Krise ist geprägt von Daten und der Suche nach den neusten wissenschaftlichen Erkenntnissen. Sie sollen möglichst rasch die Unsicherheit beenden und uns wieder ein «normales» Leben ermöglichen. Wer sich an den Puls der Wissenschaft wagt, merkt aber schnell: Diese ist von Thesen und Möglichkeiten, leider aber nicht von einfachen Antworten geleitet. Das ist auch einer der Unterschiede zwischen Politik und Wissenschaft. Die Wissenschaft bietet ein Set an Informationen, die Politik muss diese abwägen und nachvollziehbare Entscheide treffen. Gleichzeitig verlangt die Bevölkerung, dass sich die Politik auf wissenschaftliche Erkenntnisse stützt.

Politik soll kohärent sein. Oft bewegt sich ein sachgerechter Diskurs in einem Spannungsfeld von Zielkonflikten. Doch diese Zielkonflikte werden von politischen Akteuren gerne ausgeblendet. So will BioSuisse den Anteil an ausländischem Kraftfutter senken, die Trinkwasser-Initiative will sogar nur noch hofeigenes Futter zulassen. Und zweifelsfrei, die Erschliessung von heimischen Eiweissquellen wie Raps ist ökologisch sinnvoll und stärkt auch die regionale Produktion. Nur ist der Rapsanbau sehr anspruchsvoll und hierzulande ohne Pestizide praktisch unmöglich. Die Forderung nach mehr Raps und weniger Pestiziden ist daher inkohärent. Raps ist ein gutes Beispiel, warum es in der Schweiz keine pestizidfreie Landwirtschaft geben kann. Wie aber aus heimischem Raps gleichzeitig Öl und Tierfutter werden kann, wird hier erläutert.

Zum Schluss noch dies: Zu den Pestiziden gehören Pflanzenschutzmittel und Biozide, letztere sind Schädlingsbekämpfungs- und Desinfektionsmittel. Wie ein Insektenschutzmittel aus der Pflanzenschutzforschung die Ansteckungen von Malaria massiv reduzieren konnte, ist hier Thema.

Viel Spass beim Lesen, Ihre Redaktion

«Plötzlich gilt das Wasser als verschmutzt»

Das Bundesamt für Umwelt warnt vor einer grossflächigen Überschreitung der Grenzwerte. Pikant: Die Analyse basiert auf alten Daten. Sie wurden erhoben als die Grenzwerte 100mal höher waren. 

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Heimischer Raps statt importierte Soja

Pressrückstände von Raps würden sich mithilfe von «Genome Editing» als Futtermittel für Nutztiere eignen. Anstelle von importierter Soja könnte heimischer Raps an die Tiere verfüttert werden. 

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Biozide gegen Malaria

Malaria ist die häufigste Infektionskrankheit der Welt und endet in vielen Fällen tödlich. Mit einem Insektenschutzmittel (Biozid) aus der Pflanzenschutzforschung konnten die Ansteckungen deutlich reduziert werden. 

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L’incertitude est un poison, l’eau est source de vie

Chère lectrice, cher lecteur,

L’incertitude est un poison. Car l’incertitude attise les peurs. Il en va de même avec la pandémie actuelle : nous sommes à la recherche de clarté. Nous aimerions savoir ce qui permet de rester en bonne santé ou ce qui rend malade, quel comportement il faudrait adopter ou éviter. Le rôle central est joué par les autorités : le public attend d’elles des informations claires et objectives.

L’eau est source de vie. Rien d’étonnant dès lors que la population se montre très sensible à la pollution de l’eau. Ceux qui annoncent des dépassements à large échelle des valeurs seuils dans les eaux souterraines déclenchent des réactions violentes. En témoigne le dernier communiqué de l’Office fédéral de l’environnement, dans lequel il affirme que les concentrations admises de plusieurs métabolites du chlorothalonil dans les eaux souterraines sont dépassées en de vastes endroits. La question de savoir pourquoi cet office fédéral, en publiant un tel communiqué, tourne le dos à une information objective et attise négligemment les peurs est connue de lui seul. Pour comprendre comment les autorités ont provoqué le chaos sur la question des valeurs limites et pourquoi les données ne montrent aucun dépassement, rendez-vous ici.

La science offre des possibilités. La crise du coronavirus est marquée par des flux d’informations et des mises au point sur les dernières connaissances scientifiques. Celles-ci devraient mettre fin le plus rapidement possible au climat d’incertitude et permettre un retour à la vie « normale ». En prenant le pouls de la science, on le constate pourtant vite : la science est guidée par des thèses et des possibilités, mais non, malheureusement, par des réponses faciles. C’est aussi l’une des différences entre la science et la politique. La science offre un panel d’informations, à la politique de les soupeser et de prendre des décisions compréhensibles. La population aussi demande que la politique s’appuie sur la science.

La politique doit être cohérente. Souvent, un discours factuel évolue entre des conflits sur les objectifs. Ces conflits sont volontiers occultés par les acteurs politiques. BioSuisse voudrait ainsi diminuer la part des concentrés étrangers, tandis que les auteurs de l’initiative pour l’eau potable demandent que les agriculteurs ne puissent nourrir leurs bêtes qu’avec les produits issus de leurs exploitations. Sans doute, la mise en valeur de sources de protéines indigènes comme le colza est une démarche écologiquement sensée, qui renforce de plus la production régionale. La culture du colza est cependant très exigeante et, sous nos latitudes, presque impossible sans pesticides. Réclamer plus de colza et moins de pesticides n’est pas cohérent. L’exemple du colza montre bien pourquoi l’agriculture en Suisse ne peut se passer de pesticides. En revanche, le colza indigène permet d’obtenir à la fois de l’huile et des aliments pour animaux. Voici comment.

Pour conclure, nous nous faisons l’écho d’une avancée réjouissante : les pesticides regroupent les produits phytosanitaires et les biocides, lesquels sont des désinfectants et des moyens de lutte contre les nuisibles. Grâce à un insecticide issu de la recherche en protection phytosanitaire, le nombre de cas de malaria a pu être considérablement réduit. Notre compte rendu ici.

Bonne lecture, la rédaction 

L’eau est considérée comme polluée

Les concentrations admises seraient dépassées dans de vastes parties du Plateau, avertit l’Office fédéral de l’environnement. Le hic : l’analyse se base sur des données anciennes. 

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Du colza suisse à la place du soja importé

Grâce à leur richesse en protéines, les résidus de presse de colza pourraient contribuer de manière idéale à l’alimentation des animaux de rente à l’aide de l’édition génomique. 

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Des biocides contre le paludisme

L’Afrique est particulièrement touchée par ce fléau qui est transmis par un moustique. Grâce à un insecticide, il a été possible de réduire le nombre d’infections. 

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Redaktion swiss-food.ch

Pestizide sind Pflanzenschutzmittel und Biozide, dazu gehören auch Insektenschutz- und Desinfektionsmittel. Sie werden in der Öffentlichkeit kontrovers diskutiert. Oft stehen die Risiken von Pestiziden im medialen Fokus. In Vergessenheit geht, dass ohne Pestizide die Versorgungs- und Lebensmittelsicherheit gefährdet ist. Eine differenzierte Einschätzung der Risiken, die den Nutzen nicht ausblendet, ist daher wichtig. Auf der Website werden Zielkonflikte adressiert und Expertenwissen verständlich und zugänglich aufbereitet.

Die Website möchte einen Beitrag zur sachgerechten Diskussion rund um die Produktion unserer Nahrungsmittel und um Pestizide leisten.

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