Photo de gauche : Comme je vous l'ai répété ad nauseam dans cette lettre hebdomadaire, être auteur autoédité signifie prendre sa carrière d'auteur en main. Cela signifie être en pleine possession des droits de ses ouvrages, donc de sa propriété intellectuelle.
Vous considérez ne pas être concerné par ce qui se passe dans le monde de la propriété intellectuelle, entre autres les rivalités entre les plateformes de streaming, Disney+, Netflix, Amazon, etc. aiguisées encore par la crise du Covid ? Think again.
Romanciers, ces géants sont aussi notre avenir. Personnellement, je garde un œil sur eux depuis des années. (Je recommande aussi la MasterClass de Bob Iger, l'ancien PDG de Disney, l'homme sur la couverture jaune.)
Photo de droite : Être autoédité signifie aussi qu'on prenne en charge le marketing de nos livres, et la philosophie du marketing de Seth Godin a complètement changé mon approche.
Mais par-dessus tout, être autoédité exige qu'on devienne des athlètes de haut niveau dans la catégorie motivation, et foi en son propre potentiel. Les plafonds de verre au-dessus de nos têtes, nous en sommes trop souvent les architectes. Pour les reconnaître, les briser et les surpasser, rien de tel qu'un bon livre de développement personnel. J'écoute des podcasts tous les soirs dans mon bain, mais sur mon chevet, il n'y en a qu'un : "Le succès selon Jack" de Jack Canfield, qui — malgré son titre français tellement kitsch qu'il en est embarrassant — est un vrai classique.
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