Au cas où vous ne le sauriez pas déjà, nous avons annoncé une grande nouvelle pour les employeurs du Nouveau-Brunswick le mois dernier. Des remboursements liés au rendement mèneront à l’injection de 180,6 millions de dollars dans l’économie de la province.

Pour la première fois dans son histoire, Travail sécuritaire NB remettra des chèques de remboursement lié au rendement aux employeurs admissibles. Ce remboursement est possible grâce à un excédent important dans la caisse des accidents. L’excédent est attribuable à une forte sécurité au travail, à des retours au travail rapides et à une bonne gestion financière.

Les employeurs ayant droit à un remboursement devraient avoir reçu un avis d’admissibilité ce mois-ci et recevront leur chèque vers la mi-décembre.

La surcapitalisation a aussi mené à la diminution du taux de cotisation moyen de 2025, qui se chiffrera à 1,10 $, comparativement à 1,18 $ en 2024. Il s’agit du taux le plus bas dans l’histoire du Nouveau-Brunswick, et il demeure le deuxième plus bas au pays.

Travail sécuritaire NB est engagé à faciliter les choses autant que possible pour les travailleurs; les personnes qui reçoivent des prestations de pension et de survivant; les employeurs; et les fournisseurs de services pendant l’interruption du service postal.

Si vous recevez des paiements de Travail sécuritaire NB par la poste, les meilleures façons d’assurer de continuer à les recevoir sont de vous inscrire au dépôt direct et de créer un dossier Mes services. Le portail de Mes services vous permet de communiquer avec nous; d’envoyer des factures et des demandes de remboursement de frais; et de mettre à jour vos renseignements bancaires électroniquement, et ce, à partir de votre ordinateur, de votre tablette ou de votre téléphone intelligent.

Nous n’enverrons pas de lettres par la poste. Nous communiquerons plutôt avec vous par téléphone ou par courriel sécurisé jusqu’à ce que l’interruption prenne fin. 

Kirk Westfield a consacré sa carrière à aider les autres. Il a été travailleur paramédical et pompier, et a fait face à des situations critiques et souvent traumatiques qui ont mené à un diagnostic de syndrome de stress post-traumatique. Il s’attend de combler ce vide en participant au Comité consultatif des travailleurs blessés de Travail sécuritaire NB.

En racontant ce parcours, M. Westfield veut sensibiliser les gens au besoin critique de soutien en santé mentale au sein des lieux de travail et de forger d’importants changements pour les travailleurs blessés à l’avenir.

Travail sécuritaire NB cherche d’autres personnes intéressées à participer au Comité!

Alors que les mois froids d’hiver approchent et que nous passons plus de temps à l’intérieur, il faut être particulièrement conscient de ce que nous respirons au travail et à la maison. Le mois de novembre est le Mois de la sensibilisation au cancer du poumon et le Mois de la sensibilisation au radon. Il s’agit d’un bon rappel qu’une menace invisible, soit le radon, pourrait se trouver dans de nombreux lieux de travail néo-brunswickois. 

La seule façon de savoir s’il y a un niveau dangereux de radon à votre lieu de travail est d’effectuer des tests de dépistage. Le niveau de radon peut varier d’un jour à l’autre et d’une saison à l’autre. Il est souvent plus élevé l’hiver, lorsque les bâtiments sont bien scellés contre le froid, pour ainsi piéger plus de gaz à l’intérieur. Voilà l’occasion idéale de commencer à mesurer la concentration de radon à la maison et au lieu de travail.

À mesure que la température baisse et que la neige commence à tomber, le nombre de blessures en raison de glissements, de trébuchements et de chutes augmente. Les travailleurs subissent des contusions et des abrasions; des fractures; des côtes fêlées; et de graves blessures au dos et à la tête. Ces blessures entraînent souvent une absence du travail.

Des situations météorologiques qui changement rapidement pourraient être un facteur puisqu’il est maintenant chose commune de voir la température passer d’un niveau bien au-dessous du point de congélation à unetempérature à un chiffre ou même à deux chiffres en après-midi. Ce cycle gel-dégel crée souvent des dangers dans le cas des terrains de stationnement, des trottoirs, des entrées, des entrées de cour, des quais de chargement et des voies de stationnement pour les autobus scolaires. Lorsque c’est glissant, marchez comme un pingouin pour aider à prévenir les blessures!

Pour le personnel d’iClean, le lieu de travail change souvent. Le fait d’entrer quotidiennement dans diverses maisons et entreprises peut entraîner des dangers inattendus pour les nettoyeurs.

Lorsque la pandémie de la COVID-19 a frappé en 2020, la directrice générale, Valerie Lutes, a compris que son équipe avait besoin de plus de conseils qu’elle ne pouvait en offrir sur les risques habituels. Comme beaucoup d’entreprises, M^me Lutes a communiqué avec Travail sécuritaire NB pour s’assurer qu’iClean faisait tout son possible pour donner la priorité à la santé du personnel et de sa clientèle.

L’aide qu’elle a reçue pour s’y retrouver au sein des risques liés à la pandémie a marqué le début d’une étape importante dans la collaboration avec Travail sécuritaire NB et ses services de consultation gratuits, qui a mené à l’élaboration d’une politique globale de santé et de sécurité allant au-delà des mesures de lutte contre la pandémie pour aborder tous les risques de façon approfondie.

En vertu de la Loi sur l’hygiène et la sécurité au travail, les agents de santé et de sécurité et les hygiénistes du travail de Travail sécuritaire NB ont l’autorité de donner des ordres pour améliorer la sécurité et prévenir les blessures subies au travail au Nouveau-Brunswick.

Si ces ordres ne sont pas exécutés ou si un incident se produit par suite d’une infraction à la Loi ou à ses règlements, Travail sécuritaire NB peut recommander des accusations au ministère de la Justice.