Hello ,
Bienvenue à tous les petits nouveaux qui nous ont rejoints depuis un mois, on est maintenant 482 😍. Si c’est la première fois que tu me lis, petit rappel : chaque mois, je partage un sujet de fond sur l'écriture en ligne et le freelancing. La ligne édito n’est pas vraiment fixe, ça dépend de mes réflexions du moment.
En ce moment, on me questionne beaucoup sur LinkedIn, alors j'ai décidé d’en faire le sujet du jour. Tu peux t’installer avec un petit thé au soleil, je me suis fait plaisir, il y a un peu de lecture 🤭.
Au programme :
Décryptage de ma stratégie LinkedIn,
Le bilan de mai : 2 ans de freelancing et le passage en société (spoiler: c’est le bazar dans ma tête),
Les ressources du mois en mode condensé parce que j’avais déjà trop écrit.
Allez, c’est partiiii 🚀
Bonne lecture !
PS : (c'était un faux départ), petite actu du moment. Avec Valentin Decker, on s’associe ce mois-ci pour t’aider à trouver tes clients grâce à la prospection (pour les freelances en rédaction). Si tu achètes mon manuel Système Prospection, Valentin t’offre 3 mois d’abonnement à Pygmalion, la newsletter qui t'apporte sur un plateau 10 start-ups en croissance qui vont avoir des besoins et du budget (valeur 60€). C’est limité aux 30 premiers inscrits et on en a déjà vendu 10 , donc ne perds pas de temps.
C’est là : https://systeme-prospection.com/
Allez, cette fois, on y va 🚀
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Décryptage : ma stratégie LinkedIn
Ce mois-ci, je t’amène dans les coulisses de ma stratégie LinkedIn, car c’est une question qu’on me pose souvent en coaching ou en DM.
Pourquoi est-ce que je développe une audience avec une cible freelance alors qu’une grande partie de mon CA est généré par mes clients en rédaction/ghostwriting ? (et que je n’ai pas du tout l’intention d’abandonner la prestation de services pour vendre des formations full time).
Pourquoi mon profil est optimisé pour une cible de CEO alors que je produis du contenu pour les freelances ?
À première vue, ça peut paraitre contre-intuitif. Tu peux te dire que je fais un peu n’importe quoi 😄.
Mais en réalité, non. C’est assez réfléchi.
Une phase exploratoire
La première chose que je voudrais te partager, c’est que cette stratégie ne m’est pas apparue du jour au lendemain. Je suis d’abord passée par une phase d’exploration pendant laquelle je postais sur des sujets divers qui m'intéressaient et pouvaient intéresser ma cible (qui a changé plusieurs fois au cours des 2 dernières années).
J’ai commencé à publier sur LinkedIn en mars 2022 avec un post/semaine de manière irrégulière pour trouver des clients en rédaction SEO.
Mon premier post m’a d’ailleurs ramené un client, c’est ce qui m’a motivé à continuer de suite ! En 2022, 30 % de mes clients sont venus via ce canal. C’est plutôt pas mal.
Mais je n’avais pas de stratégie, je publiais ce qui me venait le jour même, c’était un peu fouillis.
Cette phase exploratoire est essentielle.
J’en parlais dans la newsletter de mars, il faut dédramatiser la création de contenu au risque de ne jamais se lancer. Si tu attends d’avoir une jolie stratégie avec un cal édito et les étiquettes de la bonne couleur sur Notion, un an après, tu n’auras toujours rien fait.
Ce sont des opportunités business qui t’échappent, mais surtout des questions qui restent sans réponse dans ta tête. La stratégie se dessine petit à petit quand on se met en action.
Le switch vers le développement d’une audience
Ceci étant dit, en fin d’année dernière, j’ai souhaité développer une audience “pour de vrai”. Meaning = gagner des abonnés de manière exponentielle.
Abonnés ≠ clients, on le sait. Alors pourquoi vouloir plus d’abonnés ?
Avoir une audience permet de faire levier sur beaucouuuup de choses qu’on fait au quotidien :
financer son acquisition client avec des contenus sponsorisés,
vendre des produits digitaux pour diversifier ses sources de revenus,
vendre ses prestations de services plus cher,
avoir plus de crédibilité et donc plus de demandes entrantes,
être invité un peu partout et donc gagner en visibilité à moindre coût…
Je suis sûre que j’en oublie. Mais tu vois l’idée.
Avoir une audience donne de la preuve sociale et de la crédibilité. Une fois que tu as ça, toutes tes actions ont un ROI plus important sans fournir plus d’efforts. C’est la définition de l’effet de levier 😄.
OK. Donc je voulais construire une audience.
Le premier constat que j’ai fait, c’est qu’il est plus facile de développer une audience sur une cible de freelances que sur une cible de CEO/CMO.
Quand on partage des conseils pour aider les free à se développer et à trouver des clients, on gagne rapidement des abonnés. En plus, les freelances sont très actifs sur la plateforme : ils likent et commentent. C’est un bon signe pour l’algorithme qui montre plus tes contenus, etc.
À l’inverse, les CEO/CMO sont sur LinkedIn en sous-marin. Ils likent peu, ils n’ont pas le temps pour laisser des commentaires. Ce qui ne veut pas dire qu’ils ne sont pas là attention !
C’est le genre de personnes à ne jamaiiiiis lâcher un like sur ton post, puis un jour, ils arrivent dans tes DMs en mode “salut, j’aime bien ce que tu fais, je te suis depuis plusieurs mois. On peut se parler ?” 🧐
C’est pourquoi mon profil est optimisé pour cette cible-là 😉. Je veux que quand un CEO tombe sur un de mes posts puis qu’il va visiter mon profil, il comprenne immédiatement que je peux l’aider (ou pas).
Le TOFU-MOFU-BOFU a peu d’importance
Alors tu vas me dire, OK, mais si tu fais que des posts à destination des freelances, le CEO il s’en fiche un peu… Bien sûr. C’est pourquoi je ne fais pas que des posts pour les freelances.
Je fais aussi des posts TOFU dans lesquels je raconte ma vie (pour résumer grossièrement haha). Ces posts-là ont un potentiel de viralité fort pour être découvert par de nouvelles personnes. Ils ont pour but d’en dire un peu plus sur moi et ma vision de la vie en général.
💡 Qu’est-ce qu’un post TOFU ?
TOFU signifie Top-of-Funnel, en français on parle du haut de l'entonnoir de conversion.
Les posts TOFU sont des posts qui peuvent être compris par tout le monde et qui vont parler à tout le monde.
L’exemple parfait que j’utilise souvent, c’est le voyage. Tout le monde part en vacances, tout le monde a un avis sur le voyage, etc. Donc même Monique, comptable dans une PME de transports, peut avoir un avis sur mon voyage en Australie.
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À l’inverse, quand j’explique comment fixer ses tarifs pour un rédacteur freelance, on est sur un post très spécifique qui s’adresse uniquement aux rédacteurs freelances. C’est donc un BOFU (Bottom-of-Funnel ou bas de l’entonnoir).
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Malaury demandait si j’utilise la stratégie TOFU-MOFU-BOFU…
La réponse c’est oui et non. En vérité, j’y prête peu attention, mais j’essaie de faire de temps en temps un post TOFU pour la découvrabilité.
En gros, mon entonnoir c’est :
TOFU : les marketeurs
MOFU : freelances
BOFU : freelances en rédaction
La plupart de mes contenus sont des MOFU/BOFU. Parce que c’est aussi ce que je préfère raconter. Ma vie perso, c’est sympa de temps en temps, mais en réalité, je n’ai pas tant de choses intéressantes à dire haha. Alors, de temps en temps je fais un petit banger, mais il ne faut pas en abuser non plus.
Comme je le disais le mois dernier, partir viral n’est pas une stratégie.
Mais plus important que le TOFU, MOFU, BOFU, je réfléchis mes contenus pour résoudre les problèmes de mes cibles :
côté freelance, le problème principal c’est qu’ils ont du mal à vivre correctement de leur activité (pour plein de raisons donc les idées de posts sont presque infinies en réalité),
côté CEO, le problème - pour grossir le trait - c’est qu’ils ont besoin d’augmenter leurs ventes. Ma solution pour atteindre cet objectif global, c’est de développer leur marque personnelle. Seulement voilà, ils n’ont pas conscience que c’est une solution.
Le 5 stages of awareness pour convertir ton audience en clients
Avant de poursuivre, il faut qu’on prenne une minute pour un peu de théorie marketing.
Je voudrais te présenter le concept des 5 Stages of Awareness. C’est plus sexy en anglais, mais en français on parle des 5 étapes de conscience.
C’est une schématisation du parcours client qui décrit le chemin du prospect pour passer de l'ignorance de ton produit ou service à la conviction que ton produit ou service correspond à ce dont il a besoin.
On remercie le copywriter Eugene Schwartz pour la théorisation de ce parcours en 1966. ✌️
Au début, le prospect n’a pas conscience de son problème. Il est unaware (inconscient).
Exemple : le CEO d’une start-up veut que son entreprise se développe en faisant plus de ventes.
Ensuite, il découvre mon contenu qui lui explique qu’il a un problème. Il est problem-aware (conscient du problème).
Exemple : le CEO doit développer sa marque personnelle, car les consommateurs ne font plus confiance aux marques. En développant une audience, il pourra faire levier dessus de plein de façons différentes et il aura de belles retombées pour son business.
Puis, je lui propose un contenu un peu plus avancé, qui présente la solution. Il est solution-aware (conscient de la solution).
Exemple : il a compris qu’il a besoin de développer sa marque perso, mais il ne sait pas comment faire. Je lui explique qu’en publiant régulièrement sur LinkedIn, il peut développer une audience. S’il écrit une newsletter mensuelle en plus, il construit un lien privilégié avec son audience.
À ce stade, mon CEO a compris qu’il doit prendre la parole sur LinkedIn. Mais je ne lui ai pas encore parlé de mon service (le ghostwriting).
C’est là que je vais pousser des contenus qui présentent mon service. Il devient product-aware (conscient de mon produit/service).
Exemple : il comprend que je peux créer sa stratégie éditoriale, l’aider à organiser ses idées et écrire ses posts et sa newsletter.
On arrive à l’étape finale où mon prospect est most-aware (majoritairement conscient). Il est prêt à prendre sa décision : travailler avec moi ou un autre ghostwriter (c’est le moment d'envoyer la sauce avec l'argumentaire de vente haha).
C’est important d’avoir conscience de ces 5 étapes quand tu produis du contenu (pour toi ou pour tes clients), car si tu présentes un argumentaire de vente à quelqu’un qui n’a pas conscience de son problème, tu ne vendras pas.
Il faut d’abord l’éduquer sur son problème.
Sur le marché du ghostwriting actuellement, la majorité des prospects sont unaware. Il y a un gros job d’évangélisation à faire.
Les CEO n’ont pas encore conscience du pouvoir de la marque personnelle, et ceux qui ont compris qu’ils doivent publier sur LinkedIn, n’ont pas encore compris l’ampleur du job.
On me contacte souvent pour écrire un ou quelques posts… (ça ne sert à rien). L’implication et le budget nécessaire sont encore des freins, parce qu’ils ne comprennent pas le ROI possible.
Donc je crée des contenus pour les aider à prendre conscience.
Exemple avec ce post qui fait la promotion d’un article étude de cas que j’ai écrit. (J’en profite pour vous rappeler que l’étude de cas est le contenu le plus puissant pour convaincre vos prospects ! Just saying 😁).
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Mais alors, comment ces posts servent ma cible freelance ? Par chance (ou pas, lol plutôt par stratégie), ma cible freelance a aussi besoin d’être éduquée sur le sujet du ghostwriting, et du marketing de contenu de manière générale.
Donc quand je produis un article étude de cas de la marque perso d’une CEO, c’est aussi une masterclass pour un ghostwriter débutant qui voudrait vendre ce genre de service à ses clients.
Ça me place comme experte sur la thématique, ça renforce ma crédibilité.
Et il se passe la même chose avec mon profil optimisé pour ma cible CEO.
Pourquoi suis-je pertinente à te donner des conseils pour ton activité de free et en tant que mentor ? Parce que je suis moi-même free, plus avancée que toi. Je signe des clients et je mets en place les stratégies que tu veux toi aussi appliquer.
Mes contenus à destination des CEO me crédibilisent pour ma cible freelances.
Mon audience freelance (le nombre d’abonnés) me crédibilise pour ma cible CEO (=> “si elle a beaucoup de likes et d’abonnés, c’est qu’elle sait développer une audience donc elle peut m’aider à le faire pour moi”).
Te voilà avec la big picture. La réflexion derrière ma stratégie LinkedIn.
Mon process de création de contenu
Maintenant, on va déconstruire un mythe : ma production de contenu, c’est le bordel.
Je n’ai pas de créneau dédié tous les matins de 8h36 à 9h02 pour écrire mon post du jour. J’ai essayé, ça ne marche pas. D’ailleurs, ça me complexe un peu.
Tous les créateurs de contenu ont une routine, et moi j’y arrive pas.
Après plusieurs mois de lutte, j’ai accepté que je fonctionne comme ça, et je suis plutôt prolifique, donc fine.
Je ne dis pas qu’il faut appliquer ma méthode, simplement qu’il faut trouver celle qui fonctionne pour toi.
Donc voici ma routine (qui n’en est pas une 😁) :
1. Je note toutes mes idées tout le temps.
Tu trouveras ça chez tous les créateurs. L’inspiration frappe quand tu ne t’y attends pas. Il faut absolument capturer l’idée, même si tu ne sais pas si elle sera utile.
J’ai un système très simple, sans friction (c’est très important !) : sur l’écran verrouillé de mon iPhone, j’ai un raccourci pour créer une nouvelle note. En 2 secondes, je peux écrire mon idée - même hors connexion.
2. Je développe mon idée.
La plupart du temps, quand l'idée arrive, je n’écris pas juste 3-4 mots, j’écris le post entier (ou des passages entiers de newsletter ou d’article).
Ça m’arrive souvent quand je cours, quand je marche, quand je suis en train de m’endormir, sous la douche (c’est plus compliqué pour écrire du coup 😏), quand je cuisine (rarement 🤭)… Bref, quand mon cerveau est libre de vagabonder.
3. Je trie.
Je me retrouve donc avec beaucoup de notes en bordel. Environ une fois par semaine, je les trie. Je range dans des sous-dossiers par thème.
4. Je passe sur mon calendrier éditorial sur Notion.
C’est là que la magie de l’organisation apparaît ! J’essaie de varier, mais je ne respecte pas toujours. C’est aussi en fonction de ce que j’ai produit (donc en vrai, c’est pas très organisé 😂).
les posts TOFU/perso plutôt le week-end,
1 à 2 posts sur la prospection (pour promouvoir la manuel Système Prospection et asseoir mon autorité sur le sujet),
1 à 2 posts sur l’écriture en ligne en général, souvent recyclage de ma newsletter (tu retrouveras des bouts de cette édition en post dans les semaines à venir),
1 à 2 posts sur LinkedIn (tips),
1 à 2 posts sur le mindset pour développer son activité en freelance.
J’ai quelques sujets phares :
C’est aussi le moment où je vais peaufiner les posts (réflexion sur l'accroche et le copywriting en général).
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L’une des clés pour produire autant de contenu, c’est de recycler ce qu’on produit ailleurs. Avec une newsletter, je crée souvent 3 à 5 posts, 2-3 pour mon bilan mensuel, et encore 2-3 d’un article réflexion que je vais écrire dans le mois.
J’ai aussi créé un mini-cours gratuit par mail que j’ai recyclé en une dizaine de posts sur les 2 derniers mois.
Enfin, la création de contenu est une éternelle répétition sous une forme différente. Donc il s’agit de faire passer le même message sous différente forme : post éducatif, storytellé, divertissant…
Jusqu’à mi-mai, je planifiais tous mes posts soit sur LinkedIn soit sur FeedHive, ce qui m’enlevait une énorme charge mentale. Mais une discussion avec une créatrice m’a fait remettre en question cette technique. Il parait que le reach est impacté de 30 % 😰si on utilise la planification.
Alors, depuis mi-mai, je teste en publiant manuellement (c’est relouuuu lol). Je ferai un point sur mes stats mi-juin.
J’en profite pour répondre à la question qui te brûle les lèvres : quelle est la meilleure heure pour poster sur LinkedIn ?!
Désolé de te décevoir… Mais il n’y en a pas. Bon évite quand même entre 22h et 6h 😁.
En fait, ce qui compte vraiment, c’est d’être actif sur la plateforme au moment où tu postes, de répondre aux commentaires rapidement dans la première heure.
Donc pour éviter d’être esclave de LinkedIn, je te conseille de choisir un moment qui te convient dans ton agenda et de ne pas suivre les injonctions qui disent de poster le matin entre 8h31 et 8h42 😑.
En plus, tout le monde poste le matin entre 8h et 9h, c’est l’autoroute des créateurs. Mathématiquement, la concurrence est plus élevée, donc ton post a moins de chance d’être vu.
C’est d’ailleurs ce qui explique pourquoi les posts du week-end marchent “mieux” que ceux de la semaine => il y a moins de gens qui postent, donc tu as plus de chance d’être vu. Il n’y a pas d’histoire d’algo qui met en avant, c’est juste mathématique.
Poster tous les jours à la même heure est aussi une bonne technique. Tu crées une habitude chez ton audience, et les habitudes sont essentielles en créa de contenu.
FAQ
Voici quelques réponses en vrac aux questions posées sur LinkedIn auxquelles je n’ai pas apporté de réponse plus haut.
Malaury - Est-ce que t’as des conseils pour créer un tunnel de vente avec ses posts ?
Identifie le problème de tes prospects
Identifie leur conscience de ce problème et de ta solution (cf les 5 stages of awareness)
Créer plusieurs contenus qui répondent aux différentes phases d'awareness
Je te conseille d'utiliser LinkedIn pour des contenus snack (rapide à consommer) pour susciter l'intérêt, et de compléter avec des contenus longs formats qui aident le prospect à avancer dans sa réflexion (ex: article de blog).
Produire du contenu sur LinkedIn ne suffit pas pour convertir des prospects. LinkedIn sert juste à “appâter” ta cible.
Un article de blog peut être recyclé en 3-5 posts.
Axel - Comment convertis-tu réellement par LinkedIn ? Prospection en plus de tes contenus ?
Faire des posts qui traitent des problèmes de ta cible pour l’aider à prendre conscience du problème, puis de la solution, puis que tu es la personne qui peut mettre en place cette solution
- Avoir un profil optimisé en mode page de vente.
On doit comprendre en 2 secondes quel problème tu résous et pour qui.
La zone sélection doit mettre en avant 1 à 3 liens vers lesquels tu veux convertir (le premier étant le plus important).
La zone info doit être copywritée pour s’adresser au prospect (utilise le framework PAS, c’est un classique qui marche bien).
Enfin, oui, la prospection + la création de contenu, ça fait des chocapic ! C’est la méthode que j’utilise. J’envoie des mails de prospection dans lesquels j'insère des liens vers des contenus (ex : post LinkedIn étude de cas client, article de blog étude marketing…).
Comme j'ai dit au-dessus, LinkedIn ne suffit pas pour convertir.
Kamel - Comment utiliser LinkedIn quand sa cible n'est pas très friante de LinkedIn ?
Si ta cible n’est pas sur LinkedIn (que tu as bien vérifié et que tu en es sûr), tu ne devrais pas perdre ton temps sur ce réseau.
Julien - Comment prendre suffisamment de recul sur sa strat pour déceler les incohérences entre ce que l'on sait, et comment on l'applique ?
Difficile de répondre sans avoir plus de détails sur ce que tu appelles “incohérence”. Le seul indicateur pour savoir si ta stratégie fonctionne ou pas, ce sont les leads que tu génères. Donc si au bout de 6 mois à poster régulièrement (5 fois/semaine), tu ne vois toujours pas tes prospects t’ajouter et envoyer des DMs, c’est qu’il y a un problème. Il faut revoir les bases.
Voilàààà, j’espère que cette plongée dans mon cerveau (qui est bien en bordel tu l’auras compris), t'aide à y voir plus clair sur la stratégie que tu pourrais mettre en place pour toi !
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Bilan mai 2023 – Deux ans de freelancing et le passage en société
“C’est le bazar dans ma tête.
J’aurais pu écrire un article bien plus structuré. Mais alors, tu penserais que la réflexion est facile, que la solution est apparue d’elle-même et que toi, quand tu galères avec tes doutes, tu es bizarre. Que les autres n’ont pas toutes ces questions.
Tu le sais bien, la transparence c’est la raison d’être numéro 1 de ces bilans. Alors c’est important que j’écrive tout ça, comme ça vient. (Pour info, si parfois je peux passer une dizaine d’heures sur un article très travaillé, je passe en général 1 à 2 heures sur mes bilans. J’écris comme ça vient, je relis et je publie. C’est totalement volontaire pour avoir quelque chose qui n’est pas trop travaillé).
Du coup, c’est OK. C’est le bazar dans la tête de tout le monde. La différence entre un free qui avance et un free qui se noie, c’est que celui qui avance est capable de demander de l’aide.
C’est donc ce que j’ai fait.”
→ Lire le bilan en entier sur le blog
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Les recos du mois
Cette newsletter étant déjà très longue (j’ai éclaté les scores habituels, si tu es toujours là, merci 🤍), je ne vais pas rentrer dans les détails des reco, mais j’ai déniché quelques pépites ce mois-ci :
Jordan Chenevier t’explique comment doubler tes prix sans prendre plus d’expérience dans cette vidéo YouTube de 6min
Théo Lion t’explique la technique du cheval de troie marketing avec une analyse de la stratégie des rappeurs High et Fines Herbes (si tu ne sais pas qui c’est, t’inquiètes pas, moi non plus, mais la strat est pépite !), puis il illustre sa propre stratégie avec son format Pimp My Brand. C’est dans cette newsletter.
Thibaut Trèzières dévoile toute la stratégie derrière sa marque personnelle, pourquoi et comment il travaille avec un ghostwriter. C’est une masterclass et de l’or en barre si tu es ghostwriter, tu peux pomper tous les arguments de vente. C’est dans cette newsletter.
Jordan Chenevier (encore lui ! Que veux-tu, le mec produit du contenu à très haute valeur ajoutée de tous les côtés !) a interviewé la CMO d’Alan dans son podcast Growth Stories. Ça donne un épisode full valeur qui te plonge dans les coulisses de la stratégie marketing d’une scale up. Si tu as besoin de développer ta culture marketing, c’est à écouter d’urgence ! C’est là sur YouTube ou là sur Apple Podcast.
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Les fiches pratiques du mois
Si tu les as loupés, voici un récap des fiches pratiques du mois sur LinkedIn :
Je m'arrête là pour ce mois-ci. Si cette édition t’a appris des choses, tu peux simplement me le dire en répondant à ce mail, c’est la meilleure récompense pour m’encourager à continuer ❤️
À bientôt,
Tifany
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Si tu es prêt à aller plus loin, tu peux :
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Comment as-tu trouvé cette édition ? |
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