Bonjour ,

J'espère que tu vas bien aujourd'hui ? Je ne sais pas si tu as vu, mais hier j'ai posté un nouvel article sur le blog pour permettre à 2 d'entre vous de remporter une copie de mon ebook + tous les bonus (Guide de Bienvenue, calendrier éditorial, etc.).

C'est la première fois et l'unique occasion pour toi de remporter tous les bonus d'un coup donc si tu es intéressé-e, tu peux retrouver toutes les informations ici.

Tu as jusqu'au mardi 12 juin à 00h00 pour participer, bonne chance ! ;)

Aujourd'hui je voulais aussi te parler de tout ce que l'école ne m'a jamais appris :

Cette année, cela fait déjà 13 ans que je suis sortie de l’école (oh my god ! cela ne me rajeunit pas du tout !), et je suis toujours aussi reconnaissante envers mes parents pour m’avoir offert une formation aussi riche et qui me sert encore tous les jours dans ma vie d’illustratrice.
 
Mon école, L’E.C.V. de Bordeaux, m’a appris à sortir de ma zone de confort, notamment en ayant l'occasion de tester tous les outils de dessin possibles et imaginables, à dessiner en plein air ou dans un musée, ce qui pour moi était une véritable petite torture.

J’y ai littéralement appris à me servir d’un ordinateur, car oui oui à 20 ans, l’oléronaise campagnarde que j’étais ne savait même pas ouvrir un explorateur de fichiers ou lire le contenu d’une clé USB (véridique !). Puis en 4 ans, j’ai appris à me servir de tous les logiciels indispensables dans la vie d’une freelance créative : Photoshop, Illustrator, mais aussi Premiere, After Effects, Dreamveaver, Flash (aujourd’hui obsolète), 3ds max.

Bref en quelques années je suis passée du statut de « nulle en informatique » à geekette ! Et j’assume :)
 
L’école m’a également appris à ouvrir mon esprit à l’art sous toutes ses formes et à développer mon sens artistique. Et pour tout cela, merci papa, merci maman !

Oui mais voilà, aussi précieuses et utiles que soient toutes ses connaissances, mon quotidien d’illustratrice n’est pas fait que de créations. Au contraire, je dirais que la partie création au sens propre du terme ne représente que 30 % de mon temps.
 
Mais alors comment j’occupe mes journées les 70% de temps restant dans ce cas ?

 

L’école ne m’a pas jamais appris à définir ma cible

L’école ne m’a jamais appris à définir ma cible. En fait, pendant pas mal de temps, je ne comprenais même pas ce qu’on appelait une cible. Tout ce que je savais, c’est que j’aimais dessiner, et que je voulais en faire mon métier.
 
Mais je n’avais aucune idée de comment mon style d’illustration pouvait s’appliquer à des projets réels. Je me souviens à l’époque quand je cherchais un agent, l’un d’entre eux (je ne me souviens plus mais je crois qu'il s'agissait de l'agence Virginie ou Marie Bastille) m’avait expliqué qu’elle aimait bien mon travail, mais qu’elle ne voyait pas comment l’appliquer à des projets réels, ni quels clients pourraient être intéressés par mon style.

Ces conseils m’ont permis de me poser les bonnes questions afin de me positionner et d’éclaircir mes intentions.
 
 

L’école ne m’a pas jamais appris à être plus visible sur le net

L’école ne m’a jamais appris comment rendre mon site plus visible dans les résultats des moteurs de recherche ni comment sortir de la masse. Certes j’ai eu quelques cours pour apprendre à coder en html sur Dreamweaver et en Flash ce qui m’a permis de créer mon premier portfolio.

En revanche je n’ai jamais appris à référencer mon site efficacement pour arriver en tête dans les résultats de Google. À ce moment-là, Instagram n’existait pas et Facebook en était à ses balbutiements, mais il y avait d’autres techniques pour faire ressortir son site dans les résultats Google que j’aurais aimé connaître et mettre en application dès le début de mon activité d’illustratrice.

Pour qu’un illustrateur ou une illustratrice reçoive des commandes, bien sûr il ou elle doit avoir du talent et continuer sans cesse de se renouveler, mais avant toute chose, il faut qu’un client puisse trouver son travail sur le net, c'est primordial !
 
C’est simple, pour trouver l’illustrateur-trice qui pourrait convenir à leur nouveau projet, la plupart des clients-tes font leurs recherches sur le net. C’est ici que tout commence et que tout se joue ! En surfant sur le net, ils doivent voir apparaître notre portfolio dans les premiers résultats. Et s’il est en première page c’est encore mieux !
 
Lorsque j’ai commencé à travailler en tant qu’illustratrice, j’ai vite été confronté à ce problème de visibilité comme tous les bébé-freelances. Malheureusement, j’ai dû apprendre tout cela par moi-même et j’ai perdu beaucoup de temps. À la longue, j’ai appris que travailler mon référencement et ma visibilité était essentiel pour développer mon activité et obtenir plus de contrats.

(lire la suite sur le blog...)

 

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À bientôt,


Ëlodie

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CE QUE L’ÉCOLE NE M’A JAMAIS APPRIS (ET C’EST BIEN DOMMAGE !)