Salut  !

Comment ça va ?

Dans cette courte niouse, 4 trucs :

1. ma grosse réalisation de l’été
2. ma grosse résolution de rentrée
3. à venir chez Art boulot
4. et ailleurs (<= info la plus importante)

Temps de lecture : moins de 4 minutes.

La dernière fois que je t’ai écrit, on était encore en août et je me réjouissais de sortir de cette période lente et vide qu’est l’été.

Bilan, quatre semaines plus tard :

• Sortir de l’été : ok
• Sortir de cette période vide : d’accord
• Me réjouir : en cours ⏳

Bah oué, ça n’a pas été aussi réjouissant que prévu, de replonger dans le feu de l’action septembrale puis octobrale.

Surtout après un été sans partir de chez moi (ou presque).

Mais bon ! À l’heure où je t’écris, je m’apprête à partir souffler au vert pendant une petite semaine, donc je suis quand même joie.

Et puis, je suis joie aussi parce que j’ai ✌️ enfin ✌️ fini ✌️ ce ✌️ méga ✌️ méta ✌️ article ✌️ que ✌️ je ✌️ préparais ✌️ depuis ✌️ (je vérifie) ✌️ mai ✌️ !!

Dedans, je te raconte un cheminement dans mes lectures qui m’a conduite à penser fort au travail invisible des femmes dans l’art. Ça se passe sur mon blog et ça s’appelle Les petites mains des femmes dans l’art.

Sur ce post, on m’a fait le meilleur retour que je pouvais rêver.

Une personne avec qui j’avais discuté m’écrit ceci : (affiche les images)

Puis, 37 minutes plus tard :

J’étais déjà bien contente d’être venue à bout de cet article. Mais ça en plus, ça réchauffe l’âme, big time. On aura beau dire que le regard des autres, nanani nanana, ben quand même ça aide à avancer.

Accessoirement, cet article m’a permis d’échanger avec plusieurs auteur·rices que je cite dedans, que des amours de personnes 💞

Cela fait quelques niousesletters que je t’envoie à quatre semaines d’intervalle, au lieu des 2 prévues.

J’ai bien essayé de lutter, mais rien n’y fait.

Je prends donc acte de cette réalité et t’annonce que désormais, cette niouse sera mensuelle. Ceci, jusqu’à nouvel ordre.

Là telle que tu me lis, je lutte à fond contre le réflexe de déplier une liste longue comme ça de trucs que j’ai envie de faire — pour hier, si possible.

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Alors donc.

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En octobre, je clarifie mes offres.

Formation, ateliers, conseil, collectifs ou individuels, pour qui et comment, tout ça sera lisible à la fin du mois.

Il y aura sûrement d’autres choses, mais je préfère ne pas m’avancer.

Si tu n’arrives pas à attendre ma prochaine newsletter, tu peux me suivre sur instagram ou passer sur mon site pour te tenir au courant.

Dans ma vie hors Art boulot, il y a aussi If It’s Good, plateforme curatoriale dont je fais partie aux côtés de trois personnes supères : Théodora Domenech, Angela Blanc et Becca Walling.

Pour novembre, on te prépare une bête de journée d’étude :

À la limite des émotions, les lieux d’exposition face aux vécus anodins.

MacVal, vendredi 25 novembre 2022, de 10h à 17h30.

On est parties des émotions de la lose, ces ressentis pas glorieux, pas spectaculaires et un peu honteux : qu’est-ce qu’ils deviennent dans le contexte d’un musée ? Si on sort des œuvres en elles-mêmes, quelle est la place des “petites” émotions chez les gentes qui bossent dans les lieux d'expo ?

Il y aura des tables rondes et des performances, ça va être trop cool.

Si tu es dans le coin de Paris, note la date dans tes tablettes : 25 novembre, de 10h à 17h30, au MacVal. 

En attendant, tu peux guetter l’info sur l’instagram de If It’s Good 😉

Je te souhaite d’avoir de quoi faire face à la baisse des températures si ça concerne ta région de résidence.

Et de la force, et de la sérénité aussi.

bien à toi,

Géraldine

🌼

PS : un récap des derniers articles de mon blog :

• Les petites mains des femmes dans l’art, le gros morceau qui m'a rempli la tête touuuuut l'été.
• Mes retours sur le dernier congrès du Cipac, le réseau des réseaux d’art contemporain
• Ego-firmes et immaturité managériale, la gestion des RH dans la culture, un rapport que tout le monde devrait lire avant de se lancer dans une carrière culturelle.